CARNET N°66 Venezuela - Du 3 au 10 Avril - Lez' Andes Bénezueliennes...



Sachant que vous mourriez d'apprendre une nouvelle langue (sisi !!!) et qu'au Vénezuela, on prononce les v comme des b, on vous propose d'écrire ce carnet à l'espagnole.


Désolé pour le délai depuis le dernier carnet mais c'est le festibal, toute cette pression...

Nous commençons notre découberte du Bénezuela par la charmante petite ville de Mérida, au beau milieu des Andes.




A part le fait que Mérida est la capitale Américaine des amateurs de Renault Fuego...



...et des éleveurs de bergers des Pyrénées (de noubeau un cliché pour le grand concours "j'ai l'air de rien mais je suis content" !!)...



C'est aussi notre point de rendez-bous avec une béritable tribu d'amis benus nous rejoindre pour 15 jours, de gauche à droite : Anne-Laure, Stéphane, Edouard, Mr Muscles que vous avez bien évidemment reconnu, Simplet & Sophie (une autre que celle du Mexique, décidemment c'est compliqué bos histoires !!).




Première activité, nous partons faire du canyoning. Au programme : toboggans naturels, sauts entre les roches et rappel dans des cascades de 35 mètres, de brais abenturiers...

Pas de photos en pleine action car forcément l'eau ça mouille et l'appareil n'est pas un inconditionnel fan de cascades, mais braiment c'était chouette !!!




On se rattrape avec une autre actibité : le Parapente.



Ici l'instructeur d'Edouard lui demande sa main (il sont braiment chauds comme la braise ces sud-américains...).



...pendant que Mathieu dit Adieu à la vie et fait le grand saut.



Départ réussi, c'est parti pour 40 minutes et 1.000 mètres de dénivelé.



La photo pour frimer auprès des gonzesses.



Edouard en plein bol, il a l'air serein comme ça mais il n'en menait pas large !!



Arrivée parfaite pour Sylvain...



...alors que le paubre Roland s'est lamentablement ramassé sur un cactus.

"Je commence à en avoir ras le bol" nous confiera-t-il quelques minutes plus tard.

Ras le bol ou ras le vol, Roland ? (lecteurs, amis, désolé de finir sur une si mauvaise blague, promis on se rattrapera au prochain carnet...)

 

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